Lorsque l’union soviétique avait perdu la partie, signalant sa disparition, tous applaudissaient comme la fin d’une longue guerre froide avec sa cohorte de morts par procuration.
Ce 26 décembre 1991, fut même célébré à Wall Streets comme une grande victoire du capitalisme sur la doctrine chère au petit père des peuples.
Cependant , personne n’avait compris que la disparation que cette dualité tenait lieu d’équilibre et que les états qui gardaient jusque la main sur un ordre mondiale bien utile, venait de perdre la baguette.
Le poison se distilla lentement et tous en déduisent actuellement que la disparition de l’union soviétique qui laissait la main libre à l’économie capitaliste, sonnait le glas d’une organisation étatique qui laisse dangereusement les coudées franches aux organisations financières, voir tout simplement à des particuliers devenus multimilliardaires.
Que constate t-on aujourd’hui ?
le capitalisme, ce monstre froid qui broie l’humain et la nature, vient d’atteindre son point culminant qui annonce sans doute sa chute comme dans le jeu du tyrolien .
Karl Marx avait tout prévu, tout imaginé, sauf ce qui arrive actuellement
Une poignée d’hommes et multinationales, devenus multimilliardaires, possèdent autant , sinon plus que le PNB de la plupart des pays.
L’affaire est si surprenante et on peut s’étonner que cela soit passé inaperçu, lorsque le milliardaire Elon Must, donna aux ukrainiens un espace satellitaires afin de mieux utiliser les drones contre les troupes russes . Il convient de faire remarquer que ces nébuleuses peuvent désormais faire et défaire état et gouvernements. Certes , on ne prête qu’aux riches, mais ne dit-on pas qu’Elon Must serait pour quelque chose dans la chute du président Morales en Bolivie. n’accuse t-on pas Georges Sorros de vouloir déstabiliser certaines sociétés occidentales et notamment la France, en orchestrant le mouvement Black live mater et communautarisme qui en découle.
On peut également se poser la question, tant Big pharma dicte sa loi aux états, allant jusqu’à sacrifier des millions de gens, cobayes pour l’occasion, en vendant des vaccins, et en usant de stratagèmes à l’endroit des politiques. Tous se trouvent pris au piège de ce chiffon rouge brandi par les labos, en jouant sur les peurs .
Tout est bon, rapports de médecins partisans, diktat de l’OMS pourtant aux mains des chinois, interventions secrètes dans les campagnes électorales.
Mais le plus étonnant, c’est que les russes, sitôt dédouanés de leur doctrine communiste, se sont aussi lancés dans ce capitalisme effréné, au point parfois de dépasser le maître .. .
On se demande comment ces camarades entre temps devenus oligarques, ont pu accumuler autant d’argent au point que des milliardaires comme Evguéni Prigojine intervient directement dans la politique russe, puisque qu’il est le bras droit de Poutine pour ses carambouilles en Afrique avec l’appui de son groupe Wagner .
Entre la puissance de gens comme Georges Soros, Marc Zukerberg, Elorn Must, Jeff Bezos et ajouté à cela les très puissants Gafa, on voit bien que le monde vit dangereusement sous la puissance et le diktat d’une minorité de gens qui pourraient par leur mégalomanie, le conduire à sa perte.
Pourtant avertis par l’un des leurs, en la personne de Bill Gates, ils sont entrain de dresser eux mêmes, le gibet qui servira à les pendre .
Markus Delgrès …
Lorsque les états et les politiques ont perdu la main.
