Cette phrase qui sonne comme un camouflet pour les historiens qui savent que la matière est fluctuante, aurait pu passer inaperçue, si elle ne venait pas de la bouche d’un récidiviste coutumier des déclarations chocs et stupides.
On aurait coutume de dire que tout ce qui est excessif serait insignifiant, mais il le serait encore plus, lorsque cela vient de la bouche d’un Nicolas Sarkozy qui laissera désormais plus de souvenirs dans la rubrique affaires judiciaires que politique .
Cet énergumène, qui il faut le rappeler n’a aucune qualité pour parler d’histoire ,puisqu’il aurait semble t-il une formation d’avocat ,s’était déjà illustré dans une sortie hasardeuse lors d’un discours à Dakar à propos de l’homme africain qui ne serait pas rentré dans l’histoire.
L’affaire n’avait pas fait grand bruit ,parce que d’abord ,les occidentaux qui ont quasiment occulté toute l’histoire de l’Afrique pour imposer la leur, se sentaient flattés, et ensuite parce que les africains d’abord médusés avaient méprisé cet imbécile par le silence ..
C’est sans doute fort de ce faux blanc seing ,qu’il récidive en faisant de nouveau une déclaration sur cette matière, volatile ..
Cette réflexion démontre deux choses…D’abord la condescendance des occidentaux qui avaient écrit l’histoire en la falsifiant tout en se tirant la couverture à eux mêmes.
Et une deuxième chose ,qu’ils sont tenaillés par la peur, devant la remise en cause de leurs mensonges, et le réveil des peuples qu’ils avaient soumis et qui sont sur le point de réécrire leur histoire .
Sarkozy n’est pas le seul, et on peut dire que cette pensée est très répandue dans l’empire à la dérive.
Cet empire occidental, qui comme le loup blessé ,se sentirait obligé de donner ses dernières morsures, dans une illusion de trompe la mort.
Alors , à ce repris de justice qui se voit encore condamné à de la prison ferme, et à tous ses congénères ,il convient de dire que si réécrire l’histoire serait une marche vers la dictature, que pourrait t-on dire de sa falsification par eux mêmes .
La vérité qui ignore la notion du temps finit toujours par s’imposer.
Markus Delgres.
« La réécriture de l’histoire ,une marche vers la dictature »
