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Dites moi, de quoi ou de qui vous ne pouvez pas parler, et je vous dirai qui sont les maîtres ……..

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Cette phrase qui est attribuée à tort ou à raison au négrophobe Voltaire,ne s’est jamais aussi bien portée.
Comme prévu l’émotion qui entourait la décapitation semble tombé dans la routine du zapping de l’information et tout le monde semble déjà passé à autre chose.

Elle est remplacé tenez vous bien par les préoccupations du aux annonces sur ce qu’il est possible d’appeler ,le reconfinement.
De quoi était-il question ? De liberté d’expression (faux prétexte) ,mais surtout des problèmes vrais ou supposés que semble imposé l’islam à une France dite judéo-chrétienne ..

Revenons sur le titre.
A qui ce Voltaire adressait subrepticement cette remarque ? Aux juifs. Car nous savons que contrairement à ce que nous connaissons de ses écrits expurgés de tout relent antisémite, l’intéressé était réellement très allergique au judaïsme au point de le préciser dans ses nombreux textes .Notez que ses relents et expressions négrophobes sont restés en l’état ..

Donc il estimait qu’à l’époque, il y avait déjà un certain diktat sur l’expression de ceux qu’il qualifiait les maîtres. .Les choses ont-ils changé ?
Non et vous allez voir que d’autres « maîtres » ce sont intercalé pour se dresser devant la parole.

La France qui pourtant chérie à tout va une liberté d’expression comme le lobby des armes chérit le port d’arme aux USA, se trouve pris à son propre piège .
Le mieux étant l’ennemi du bien, voilà que finalement, il y a des choses très basiques qui ne peuvent pas être évoquées au risque s’attirer les foudres d’une communauté devenu très puissante .

Malheureusement le fait ne concerne pas que l’expression en elle même ,ça va beaucoup plus loin .
Désormais même à l’école, les enseignants sont appelés à éluder certaines questions.
Ils ne peuvent plus par exemple donner des cours d’instruction civique et moral ,d’histoire, en évoquant des détails qui ne seraient pas conformes aux préceptes de l’islam .

Pire encore, les politiques censés représenter le pouvoir du peuple par délégation ,ne peuvent pas évoquer non plus ni les sujets, ni les problèmes d’incompatibilité de l’islam avec la république sans passer par des chemins détournés .
Voies qui consiste à parler d’un islam radical alors que c’est bien de l’islam tout simplement qu’ils veulent parler ..

Qui oserait prendre la parole pour parler désormais du port du voile sans mettre en avant le mot radicalisation ? Personne,alors que l’on sait parfaitement que celles qui enfreignent les règles concernant le port du voile ne sont pas des gens radicalisés.
Donc c’est bien d’islam dont il est question..

Quel maire oserait (il y en a pourtant) évoquer la quasi obligation qui lui est fait ,de na pas servir de porc à la cantine, sans prendre le risque de passer pour un islamophobe au risque de s’aliéner les électeurs musulmans parfois nombreux qui habitent sa ville?

Très très peu ,à part le maire de Bézier qui a pris la voie d’une quasi « marginalisation » puisque l’on sait que ces alliés sont peu nombreux, du moins n’osent pas ce montrer .
C’est toute la société française qui est piégée par ce diktat imposé à la parole et vous allez voir que cela va encore plus loin dans les esprits.

Actuellement ,fleurissent dans les médias et les discours, les termes de racisé, séparatisme, indigénisme .
Et comme pour l’islam ,mais dans une moindre mesure, les français autrefois très à l’aise avec certaines réflexions tendancieuse vis à vis de certaines minorités, se sentent aussi menacés ,s’il évoquent certains sujets ou prononcent certains mots même corrects .

Un véritable piège qui a une incidence toute particulière, car ils ont l’impression d’être actuellement victimes d’un racisme qu’ils appellent anti-blanc et plus grave encore d’être sous domination des » racisés » ..
Tout cela bien entendu n’est qu’une impression orchestrée ,mais il existe bien et s’impose à la société française comme un caillou dans la chaussure.

Alors qui sont les maîtres ? Une très bonne question qui est désormais soumise à votre sagacité..

Markus Delgrès .

Markus Delgres

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