Etonnement personne n’est surpris par le racisme des slaves exercé à l’endroit des africains qui étudient ou habitent chez eux. Mais le plus surprenant , c’est que l’affaire ukrainienne vient de mettre en lumière un racisme sournois et sous jacent ,de la part des autres européens et notamment des français qui ne veulent jamais l’admettre, en le dissimulant comme le chat cacherait ses excréments.
De quoi s’agit-il ?
Ce constat ne date pas d’aujourd’hui, mais du moins il est question de preuves irréfutables ..
Juste pour rappel, qui ne se souvient pas des ressentiments des habitants de l’île de Saint Martin qui touchés par un violent cyclone, s’étaient aperçus que les autorités triaient presque délibérément les victimes en favorisant l’évacuation des blancs..
Mais comme nous sommes en France, il y a toujours une justification à tout pour cacher l’évidence..
La réponse, était, qu’il s’agissait uniquement de touristes qui n’habitaient par sur l’île et qu’il fallait fort logiquement les rapatrier en priorité.
Sauf à faire remarquer qu’aucune distinction n’avait été faite entre touristes et habitants et que le seul fait d’être blanc s’avérait un critère de priorité..
Pris dans la tourmente et devant la réaction des sinistrés afro-caribéens, cette affaire rentrait dans l’ordre dans une hypocrisie que seule la France serait capable de conjuguer.
Cependant, ce qui était valable hier, l’est encore plus aujourd’hui avec l’affaire Ukrainienne
On a vu et su que les autorités ukrainiennes empêchaient les étudiants africains de quitter le pays en refusant de les évacuer. Et quand bien même elles consentiraient à quelques efforts ,les autorités limitrophes refusaient de les accueillir .
A ce jour, seule l’Allemagne aurait accepter de recevoir quelques étudiant togolais, mais le nombre est assez faible, compte tenu du ratio d’étudiants africains encore sur place .
Mais le pire de tout ça, c’est que plus personne n’en parle, et il est à parier qu’un certain nombre de ces étudiants se trouvent encore sur place et livrés à la sauvagerie des russes dont on connaît le racisme et la bestialité.
Néanmoins, c’est encore la France ce pays des droits de l’homme qui a encore décroché la timbale . Est ce surprenant ? Non !.
Qui n’a pas vu avec quelle facilité les réfugiés ukrainiens seraient arrivés en France et accueillis à coup de logements et d’argent. Notez qu’ils ont accès immédiatement aux soins, peuvent travailler et scolariser leurs enfants. Des facilités qui sont normalement accordées aux ressortissants de l’UE et pour rappel, l’Ukraine n’en fait pas partie. Après l’acceptation de la théorie du grand remplacement par le plus grand nombre, n’est pas ce une aubaine pour se renflouer en individus de race blanche?
Sans doute que certains l’auraient bien intégré en sautant sur l’occasion et en ouvrant en grand la porte du pays aux ukrainiens blancs, sans même se rendre compte qu’ils ont une culture tout à fait différente et que même de type caucasiens , cela pourrait causer quelques grincements.. Les italiens, et les réfugiés espagnols des temps passés, s’en souviennent encore et les historiens sérieux conviendront qu’ils ne s’étaient pas intégrés sans tracas .
Mais pire encore, Anne Hidalgo, maire de Paris se disant humaniste, fille d’immigrés espagnols, déclare à une heure de grande écoute ,alors qu’elle est entendu sur son programme de campagne, que la mairie de Paris dispose de logements à l’attention des réfugiés ukrainiens.
Qui donc, n’est pas tenté de faire remarquer à cette dame que des familles africaines dorment sous les ponds du 19e arrondissement de Paris, depuis bien longtemps et qu’à part les déloger de leurs abris de fortune, la mairie de Paris n’a jamais jugé bon de leurs proposer un logement digne d’humanité.
Du racisme ? Que dire !
De la Zémourisation des esprits du nom de ce descendant d’indigènes juifs d’Algérie ?
Personne ne prendra sans doute le temps de répondre à cette question , mais les faits sont là et ils sont tenaces.
C’est ça la « French touch » être un pays xénophobe et raciste, tout en réussissant à démontrer fermement le contraire
Markus Delgrès .